etpatatieetpatata
Description :
Notre petite famille se r�unit souvent pour f�ter les anniversaires des uns et des autres.
On choisit souvent les grandes maisons.
on est heureux de se retrouver, de rire de tout et de rien.
A cette occasion certains y vont de leur plume.
Voici la chronique de ces blablabla familiaux...
C'est la premiere aquarelle de Lisa, elle va avoir 3 ans... C'est la plus forte avec Sissou, non ?
Avez vous devinez � qui sont ce joli petit pied et cette petite main....
A LISA bien s�r
A LISA bien s�r
Trente-deux printemps : c'est un an de moins, je crois,
Que n'en avait le Christ sur son chemin de croix.
Mais toi, Anne, devant ton luxueux Schimmel,
Tu te sens d�sormais au bout des doigts des ailes.
Et, le petit Colin nich� sur tes genoux,
Tu dis : � Schumann, Chopin, et Aym� Kunc, � nous !
Le sol peut, s'il le veut, sous mes pieds s'effondrer,
Au septi�me ciel je resterai perch�e �.
Et dans cette envol�e de notes printani�res,
Saluant ta dext�rit� coutumi�re,
Nous te disons, Nanou, joyeux anniversaire !
Que n'en avait le Christ sur son chemin de croix.
Mais toi, Anne, devant ton luxueux Schimmel,
Tu te sens d�sormais au bout des doigts des ailes.
Et, le petit Colin nich� sur tes genoux,
Tu dis : � Schumann, Chopin, et Aym� Kunc, � nous !
Le sol peut, s'il le veut, sous mes pieds s'effondrer,
Au septi�me ciel je resterai perch�e �.
Et dans cette envol�e de notes printani�res,
Saluant ta dext�rit� coutumi�re,
Nous te disons, Nanou, joyeux anniversaire !
Si Sissou m'�tait cont�e.
Une minute : et elle trouve (elle a la frite !)
Le d�troit de Dortmund au Trivial Pursuit.
� Deux secondes ! � est le temps rituel qu'il lui faut
Pour appara�tre enfin sous son jour le plus beau.
Trois sous, c'est la moiti� de Six sous. Qu'est ceci ?
Sissou, mis sens dessus dessous, donne Souci ?
Six sous faisant souci ? Mais c'est fou, �a, ici,
Car Sissou sans le sou, c'est encore Sissi.
Quatre fois deux mille ans ! N'est-ce pas un peu t�t
Pour te saluer, � Dame de Bonifacio ?
Mais je m'�gare en vous parlant de mill�naires :
Tu n'en es, bien s�r, qu'� ton premier centenaire !
Donc faisant fi de ces comptes d'apothicaire,
Et subjugu�s par ta gr�ce printani�re,
Nous te disons, Sylvie, joyeux anniversaire !
Le d�troit de Dortmund au Trivial Pursuit.
� Deux secondes ! � est le temps rituel qu'il lui faut
Pour appara�tre enfin sous son jour le plus beau.
Trois sous, c'est la moiti� de Six sous. Qu'est ceci ?
Sissou, mis sens dessus dessous, donne Souci ?
Six sous faisant souci ? Mais c'est fou, �a, ici,
Car Sissou sans le sou, c'est encore Sissi.
Quatre fois deux mille ans ! N'est-ce pas un peu t�t
Pour te saluer, � Dame de Bonifacio ?
Mais je m'�gare en vous parlant de mill�naires :
Tu n'en es, bien s�r, qu'� ton premier centenaire !
Donc faisant fi de ces comptes d'apothicaire,
Et subjugu�s par ta gr�ce printani�re,
Nous te disons, Sylvie, joyeux anniversaire !
Et pour son anniversaire, une surprise pour Sylvie : un concert aux calanques de Sormiou avec un piano aqueux
Ah oui! le faire part ...
mais il est l�...
mariage et bapt�me � la fois...
mariage et bapt�me � la fois...
Ca y est elle a dit " oui " et Lisa aussi
ils sont pas beaux tous les trois ?
Y'a m�me Fifi sur la photo..
Fifi c'est l'incontournable, celui qu'il ne faut jamais oublier quand on part, quand on a envie de dormir...
Vous avez devin�, non ?
ils sont pas beaux tous les trois ?
Y'a m�me Fifi sur la photo..
Fifi c'est l'incontournable, celui qu'il ne faut jamais oublier quand on part, quand on a envie de dormir...
Vous avez devin�, non ?
Ils sont trop beaux et trop mignons :
On les adore
Ils n'ont que deux mois d'�cart, ce sont presque des jumeaux
On les adore
Ils n'ont que deux mois d'�cart, ce sont presque des jumeaux
Qu'on soit rue Vaucanson ou bien rue Thubaneau,
C'est toujours ce m�me air lancinant de piano
Qui se faufile et s'insinue de porte en porte
On n'imagine pas Anne, o� que la portent
Ses pas, cesser bien longtemps de jouer
Bach, Chopin ou Schuman, Aym� Kunc ou Faur�.
Mais jouer ces morceaux pr�s de la Canebi�re,
Avec Tib�re Raffali pour partenaire,
N'est-ce pas un plaisir, dirons-nous, d'exception ?
Et du cours Julien � la rue Melchion,
A quiconque viendra te poser la question,
Tu diras en �carquillant tes beaux yeux bleus :
� C'est clair ! Et maintenant, Marseille � nous deux ! �
Jo octobre 2005
C'est toujours ce m�me air lancinant de piano
Qui se faufile et s'insinue de porte en porte
On n'imagine pas Anne, o� que la portent
Ses pas, cesser bien longtemps de jouer
Bach, Chopin ou Schuman, Aym� Kunc ou Faur�.
Mais jouer ces morceaux pr�s de la Canebi�re,
Avec Tib�re Raffali pour partenaire,
N'est-ce pas un plaisir, dirons-nous, d'exception ?
Et du cours Julien � la rue Melchion,
A quiconque viendra te poser la question,
Tu diras en �carquillant tes beaux yeux bleus :
� C'est clair ! Et maintenant, Marseille � nous deux ! �
Jo octobre 2005
TROP mignon ce petit gar�on , sorti prendre le frais en plein hiver, alors que son papa devait carreler justement ce jour-l�....Il est arriv� un matin de janvier, avec tous ces habits...Ouf ! il �tait temps,car il avait bien failli na�tre tout nu.
SUR UN G�TEAU D'ANNIVERSAIRE
(Grand vin d'Oupia, Clos Sissou, Cuv�e 55, A.O.C.)
Un grand vin, si l'on veut qu'un titre l'ennoblisse,
Il lui faut du jarret, et m�me de la cuisse,
Qualit�s que nous d�cernons sans h�siter
Au cru Oupia 55, grande cuv�e.
On dit aussi que dans l'H�rault les vigneronnes
Sont, la plupart du temps, de joyeuses luronnes,
Attribut que nous allons donc te conf�rer,
� Sylvie, toi qui es ce terroir incarn�.
On ne te sait que trop forte comp�titrice,
Au trivial pursuit, aux mots crois�s, au sudoku,
Toujours pr�te � tenter quelque audacieux coup,
Avec ta belle-s�ur pour fid�le complice.
Historienne �m�rite, experte en ex�g�ses,
Nous saluons en toi cet esprit de synth�se,
Et ce prompt jugement, qui ne te fit d�faut
Q'un beau jour, face aux dentelles de Burano.
Des ann�es tu te joues, sans craindre leurs outrages,
V�rifiant avec �clat le vieil adage
Qui veut qu'un grand cru se bonifie avec l'�ge.
Donc, en levant bien haut en ton honneur nos verres,
Toi que l'on pl�biscite, et qui nous es si ch�re,
Nous te disons, Sylvie, joyeux anniversaire !
(Grand vin d'Oupia, Clos Sissou, Cuv�e 55, A.O.C.)
Un grand vin, si l'on veut qu'un titre l'ennoblisse,
Il lui faut du jarret, et m�me de la cuisse,
Qualit�s que nous d�cernons sans h�siter
Au cru Oupia 55, grande cuv�e.
On dit aussi que dans l'H�rault les vigneronnes
Sont, la plupart du temps, de joyeuses luronnes,
Attribut que nous allons donc te conf�rer,
� Sylvie, toi qui es ce terroir incarn�.
On ne te sait que trop forte comp�titrice,
Au trivial pursuit, aux mots crois�s, au sudoku,
Toujours pr�te � tenter quelque audacieux coup,
Avec ta belle-s�ur pour fid�le complice.
Historienne �m�rite, experte en ex�g�ses,
Nous saluons en toi cet esprit de synth�se,
Et ce prompt jugement, qui ne te fit d�faut
Q'un beau jour, face aux dentelles de Burano.
Des ann�es tu te joues, sans craindre leurs outrages,
V�rifiant avec �clat le vieil adage
Qui veut qu'un grand cru se bonifie avec l'�ge.
Donc, en levant bien haut en ton honneur nos verres,
Toi que l'on pl�biscite, et qui nous es si ch�re,
Nous te disons, Sylvie, joyeux anniversaire !
Ces mots ont �bloui celui qu'alors j'�tais.
Par leur simple magie, ils ont institu�
-Dirai-je, parodiant des mots que vous aimez-
Ce jeu de l'�mergence et de l'identit�
Dont on n'a pas fini de voir tous les effets,
Ce dont la petite Lisa peut t�moigner.
Est-il rien de plus beau qu'une lign�e prosp�re ?
Donc, en mettant le cap sur votre centenaire,
Je vous dis, Nicolo, joyeux anniversaire !
Par leur simple magie, ils ont institu�
-Dirai-je, parodiant des mots que vous aimez-
Ce jeu de l'�mergence et de l'identit�
Dont on n'a pas fini de voir tous les effets,
Ce dont la petite Lisa peut t�moigner.
Est-il rien de plus beau qu'une lign�e prosp�re ?
Donc, en mettant le cap sur votre centenaire,
Je vous dis, Nicolo, joyeux anniversaire !
Cher Nicolo,
Il faut enfin que par ce pr�nom je vous nomme,
Moi qui, pendant des lustres, en fus si �conome,
Pour �voquer ici, sacrifiant aux rites,
Ces quelques mots qu'il y a bien longtemps vous me d�tes,
Et par lesquels ma vie allait �tre chang�e :
� Vous nous prenez H�l�ne, et vous la m�ritez �.
Il faut enfin que par ce pr�nom je vous nomme,
Moi qui, pendant des lustres, en fus si �conome,
Pour �voquer ici, sacrifiant aux rites,
Ces quelques mots qu'il y a bien longtemps vous me d�tes,
Et par lesquels ma vie allait �tre chang�e :
� Vous nous prenez H�l�ne, et vous la m�ritez �.
Et voila, notre premi�re petite fille. Toute brune, avec de grands yeux noirs. Une vraie petite corse, comme son papa, sa maman et ses deux papy..papy Jo et papy Tonio.Nous les grand-m�res on est deux pinzutte :mamie Coco et mamyl�ne.
Mon P�re
Tu as toujours �t� pour moi un p�re exemplaire
Un mod�le d'honn�tet� plein de myst�re
Pourtant la vie ne t'a vraiment rien �pargn�
Car ma m�re, un jour tu as choisi d'�pouser
Et au cours de ces ann�es de vie partag�e
Sourires et trois beaux enfants tu lui as donn�s
Alors pourquoi de moi aujourd'hui ce discours
N'avais-je ce monologue pour seul recours...
Marylise et moi avons ce soir un secret
Nous avons choisi de te le faire partager
En toute occasion, bien pi�tre rimailleur
Sur tes conseils j'ai su �tre un franc artilleur
Et cette ann�e c'est non sans un certain plaisir
Que la joie d'�tre grand-p�re nous allons t'offrir
La confidence �tant faite mon p�re
Je te souhaite un bon anniversaire
Tu as toujours �t� pour moi un p�re exemplaire
Un mod�le d'honn�tet� plein de myst�re
Pourtant la vie ne t'a vraiment rien �pargn�
Car ma m�re, un jour tu as choisi d'�pouser
Et au cours de ces ann�es de vie partag�e
Sourires et trois beaux enfants tu lui as donn�s
Alors pourquoi de moi aujourd'hui ce discours
N'avais-je ce monologue pour seul recours...
Marylise et moi avons ce soir un secret
Nous avons choisi de te le faire partager
En toute occasion, bien pi�tre rimailleur
Sur tes conseils j'ai su �tre un franc artilleur
Et cette ann�e c'est non sans un certain plaisir
Que la joie d'�tre grand-p�re nous allons t'offrir
La confidence �tant faite mon p�re
Je te souhaite un bon anniversaire
64 printemps cela peut sembler lourd,
Mais d'un autre c�t�, r�ver au fil des jours
Et voir d'autres que nous qui pourtant nous ressemblent
Galoper dans la vie, l� o� nous allons l'amble
Acheter des studios et des appartements
�uvrer d'arrache-pied � leur r�novation,
Partir en Australie, y jouer la musique
D'un grand oncle ou d'un a�eul on ne sait trop
Avant de plonger ans les profondeurs magiques,
Des r�cifs coralliens bouteilles sur le dos .
Bref ! au fil de r�cits souvent plein d'impr�vu
Vivre ce que l'on n' a pas soi m�me connu,
Voil� ! M�me si les ans fuient � tire d'ailes
Qui procure, � coup s�r, la jeunesse �ternelle.
Jo mai 2004
Mais d'un autre c�t�, r�ver au fil des jours
Et voir d'autres que nous qui pourtant nous ressemblent
Galoper dans la vie, l� o� nous allons l'amble
Acheter des studios et des appartements
�uvrer d'arrache-pied � leur r�novation,
Partir en Australie, y jouer la musique
D'un grand oncle ou d'un a�eul on ne sait trop
Avant de plonger ans les profondeurs magiques,
Des r�cifs coralliens bouteilles sur le dos .
Bref ! au fil de r�cits souvent plein d'impr�vu
Vivre ce que l'on n' a pas soi m�me connu,
Voil� ! M�me si les ans fuient � tire d'ailes
Qui procure, � coup s�r, la jeunesse �ternelle.
Jo mai 2004
Lili est entr�e dans sa vie...
Elle a aujourd'hui 25 ans
Elle a aujourd'hui 25 ans
Sylvain � Oletta, bac � la boutonni�re
Echangea quelques mots devant la b�tonni�re
Notre petit Juju mi-b�at, mi frondeur
Fit quelquefois les frais de notre baroudeur
Mais c'est surtout � Jo que vont tous nos suffrages
Quand retenant son rire, et au bord du naufrage
Tressautant sur son si�ge, la larme � la paupi�re
Il nous montrer par l�, combien il en est fier
Reste Tant Nicole, garde meuble efficace,
La seule qui vraiment temp�re ses audaces
Et l'adjudant Bon Poil qui un instant menace
Avant d'abandonner la lutte de guerre lasse
Et puis il y a la Corse, et puis il y a Lili
En un mot ce qu'il faut pour faire un paradis
Et pourtant Oletta que jamais rien n'�tonne
Doit subir chaque ann�e, un �norme cyclone !
Les amis le voil� ! le Messie qui d�barque
T�te pleine d'id�es, pour faire son Luna Park
Alors que pour nous tous, c'est maintenant la liesse
Certains vont aux abris avec leurs boules Quies
Maxime � la guitare enchante nos oreilles
Pendant que les voisins recherchent le sommeil
Olipied et les autres comme � chaque saison
Finiront au bassin pour retrouver raison
Voil� Jean-Nicolas ce que l'on pouvait dire
De ces trente ann�es de bonheur et de rire
Et avant de go�ter � ce si bon dessert
Echangea quelques mots devant la b�tonni�re
Notre petit Juju mi-b�at, mi frondeur
Fit quelquefois les frais de notre baroudeur
Mais c'est surtout � Jo que vont tous nos suffrages
Quand retenant son rire, et au bord du naufrage
Tressautant sur son si�ge, la larme � la paupi�re
Il nous montrer par l�, combien il en est fier
Reste Tant Nicole, garde meuble efficace,
La seule qui vraiment temp�re ses audaces
Et l'adjudant Bon Poil qui un instant menace
Avant d'abandonner la lutte de guerre lasse
Et puis il y a la Corse, et puis il y a Lili
En un mot ce qu'il faut pour faire un paradis
Et pourtant Oletta que jamais rien n'�tonne
Doit subir chaque ann�e, un �norme cyclone !
Les amis le voil� ! le Messie qui d�barque
T�te pleine d'id�es, pour faire son Luna Park
Alors que pour nous tous, c'est maintenant la liesse
Certains vont aux abris avec leurs boules Quies
Maxime � la guitare enchante nos oreilles
Pendant que les voisins recherchent le sommeil
Olipied et les autres comme � chaque saison
Finiront au bassin pour retrouver raison
Voil� Jean-Nicolas ce que l'on pouvait dire
De ces trente ann�es de bonheur et de rire
Et avant de go�ter � ce si bon dessert
A mon Fillot
Celui qui dans son sac aurait bien plus d'un tour
Sur un air de Ferr� fut con�u dans l'amour
A�n� d'une famille oh ! combien attachante
De lui on attendait des lendemains qui chantent
Ce petit gringalet allergique au gluten
Allait prendre sa place et un peu de bedaine
Habitu� des exploits, agile sur les toits
C'est bien plus d'une fois qu'il nous laissa pantois
Un peu comme une mouche qui attise le coche
Son esprit aux aguets remarque ce qui cloche
Accompagn� du geste, le verbe est vite l�
Avec comme seul but, faire rire aux �clats
C'est d'abord sur Nanou qu'il exer�a ses gammes
Au point qu'il faillit m�me lui faire rendre l'�me,
S'il n'avait pas � temps temp�r� d'un b�mol
Evitant par la m�me qu'elle n'en ait ras le bol
Que dire de Lauriane plus d'une fois somm�e
De lui livrer enfin son secret de beaut�
De m�me que Manu �g�rie du portable
Les cousines le trouv�rent parfois insupportable
Celui qui dans son sac aurait bien plus d'un tour
Sur un air de Ferr� fut con�u dans l'amour
A�n� d'une famille oh ! combien attachante
De lui on attendait des lendemains qui chantent
Ce petit gringalet allergique au gluten
Allait prendre sa place et un peu de bedaine
Habitu� des exploits, agile sur les toits
C'est bien plus d'une fois qu'il nous laissa pantois
Un peu comme une mouche qui attise le coche
Son esprit aux aguets remarque ce qui cloche
Accompagn� du geste, le verbe est vite l�
Avec comme seul but, faire rire aux �clats
C'est d'abord sur Nanou qu'il exer�a ses gammes
Au point qu'il faillit m�me lui faire rendre l'�me,
S'il n'avait pas � temps temp�r� d'un b�mol
Evitant par la m�me qu'elle n'en ait ras le bol
Que dire de Lauriane plus d'une fois somm�e
De lui livrer enfin son secret de beaut�
De m�me que Manu �g�rie du portable
Les cousines le trouv�rent parfois insupportable
Jour faste qui fait que, d'un po�me d'un seul,
Je f�te en m�me temps ma fille et ma filleule
L'une orn�e des lauriers que lui tresse Erato,
Fr�quente assid�ment l'antre du bel canto.
L'autre de noir v�tue, s�rieuse comme un pape
Cultive sans arr�t la science d'Esculape.
A toutes deux mes v�ux de longue et bonne route
Pour tout ce que je sais, et ce dont je me doute
Car j'ai comme une id�e qu'en ce domaine aussi
Chacune a su d�j� embrasser son parti.
Vous emplissez, en avan�ant bon pied bon �il
Votre p�re et parrain d'un l�gitime orgueil.
Car chacun comprend bien, et le redit en ch�ur,
Que les fruits ont tenu la promesse des fleurs.
Jo octobre 2002
Je f�te en m�me temps ma fille et ma filleule
L'une orn�e des lauriers que lui tresse Erato,
Fr�quente assid�ment l'antre du bel canto.
L'autre de noir v�tue, s�rieuse comme un pape
Cultive sans arr�t la science d'Esculape.
A toutes deux mes v�ux de longue et bonne route
Pour tout ce que je sais, et ce dont je me doute
Car j'ai comme une id�e qu'en ce domaine aussi
Chacune a su d�j� embrasser son parti.
Vous emplissez, en avan�ant bon pied bon �il
Votre p�re et parrain d'un l�gitime orgueil.
Car chacun comprend bien, et le redit en ch�ur,
Que les fruits ont tenu la promesse des fleurs.
Jo octobre 2002
eh oui on evolue ! Plus, toujours plus...Ce n'est qu'un d�but continuons le combat....
Quel plus beau compliment que celui que vous fit,
sans que vous le sachiez quelqu'un qui est ici
et qui me dit un jour, d'un ton irr�futable :
� Je trouve que Mamie est quelqu'un d'admirable ! �
Qu'ajouter � cela ? Les Muses de Sicile
me soufflent simplement- et je les suis docile :
Longue vie ! Puissiez-vous encore bien longtemps
R�conforter tous ceux qui vous entoureront
Et qui vous disent de leur voix la plus sinc�re
Pour vos quatre-vingts ans, Joyeux anniversaire !
Jo juillet 2003
sans que vous le sachiez quelqu'un qui est ici
et qui me dit un jour, d'un ton irr�futable :
� Je trouve que Mamie est quelqu'un d'admirable ! �
Qu'ajouter � cela ? Les Muses de Sicile
me soufflent simplement- et je les suis docile :
Longue vie ! Puissiez-vous encore bien longtemps
R�conforter tous ceux qui vous entoureront
Et qui vous disent de leur voix la plus sinc�re
Pour vos quatre-vingts ans, Joyeux anniversaire !
Jo juillet 2003
J'aurais pu �voquer vos talents culinaires
tant de festins dominicaux peu ordinaires,
pr�par�s et servis de fa�on raffin�e
et ce caf� qui n'en finit pas de passer
dans une argenterie il est vrai remarquable,
seule digne de figurer � votre table.
Je m'attarderai plus sur votre jolie voix
dont vous nous gratifiez trop rarement je crois
quand laissant de c�t� votre M�thode Rose
vous consentez � nous moduler quelque chose
de Tosca, de Boh�me ou de la Traviata
oeuvres que vous poss�dez sur le bout du doigt.
Toutes ces qualit�s ne sont certes pas rien.
Mais plus que tout nous pla�t votre �il c�rul�en
qui s'assure en veillant soigneusement au grain
que tout se passe comme il faut, que tout va bien.
C'est dans ce r�le l� que nous vous pr�f�rons
La note fondamentale et le diapason
Qui permet � chacun de vivre � l'unisson
tant de festins dominicaux peu ordinaires,
pr�par�s et servis de fa�on raffin�e
et ce caf� qui n'en finit pas de passer
dans une argenterie il est vrai remarquable,
seule digne de figurer � votre table.
Je m'attarderai plus sur votre jolie voix
dont vous nous gratifiez trop rarement je crois
quand laissant de c�t� votre M�thode Rose
vous consentez � nous moduler quelque chose
de Tosca, de Boh�me ou de la Traviata
oeuvres que vous poss�dez sur le bout du doigt.
Toutes ces qualit�s ne sont certes pas rien.
Mais plus que tout nous pla�t votre �il c�rul�en
qui s'assure en veillant soigneusement au grain
que tout se passe comme il faut, que tout va bien.
C'est dans ce r�le l� que nous vous pr�f�rons
La note fondamentale et le diapason
Qui permet � chacun de vivre � l'unisson
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