Cher Nicolo,
Il faut enfin que par ce prénom je vous nomme,
Moi qui, pendant des lustres, en fus si économe,
Pour évoquer ici, sacrifiant aux rites,
Ces quelques mots qu'il y a bien longtemps vous me dîtes,
Et par lesquels ma vie allait être changée :
« Vous nous prenez Hélène, et vous la méritez ».
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